URGENT : IL NE RESTE QUE 18 JOURS
Les conditions d'obtention de la prime d'expatriation (Article 81 I, 81A II, 81 AIII du CGI ) ont changé cette année et il convient de suivre à la lettre les nouvelles prescriptions pour éviter toute requalification coûteuse, pénible et susceptible de compliquer la relation entreprise/bénéficiaire.
Information disponible : Jacques-Olivier Meyer (INTELFI) au +33.1.47.56.11.81
Bienvenue aux étudiants du CELSA sur le blog REMUNERATIONS.
Début cette après-midi et pour 3 sessions de mon séminaire au CELSA, l' Ecole des Hautes Etudes en Sciences de l'Information, Grande Ecole attachée à l'Université Paris IV.3 fois 3 heures consacrées aux politiques de rémunération avec un regard très opérationnel pour gagner rapidement une expérience indispensable dès les premières années du parcours professionnel. Une adresse privée réservée aux étudiants du CELSA sera prochainement mise en ligne afin de leur permettre de préparer les cas qu'ils traiteront en janvier prochain.
+ d'infos : Jacques-Olivier MEYER, DG INTELFI, +33.1.47.56.11.81
REMUNERATIONS annonçait dès vendredi soir l'arrivée de M. Francis MER à la tête de SAFRAN. Cette info est désormais confirmée.
REMUNERATIONS n'a pas vocation à réserver ses billets à une entreprise ou un phénomène. Une fois ce principe réaffirmé, il est cependant difficile de ne pas reparler de SAFRAN dont l'actu devait attendre le prochain Conseil de Surveillance de mercredi . Dans l'intervalle, le feuilleton se poursuit et voilà que des irrégularités comptables portant sur 100 millions d'Euros auraient été constatées dans la branche Défense et Sécurité, épine dorsale du Groupe. Révélation fortuite ? de nature à modifier l'équilibre des forces en présence ? Un nouveau plan de succession ? Quel plan de la part du Ministère et avec quels alliés ?
C'était comme depuis 2 mois le dernier billet sur ce sujet...
+ d'informations : Jacques-Olivier MEYER, DG INTELFI, +33.1.47.56.11.81
Consultation du BLOG REMUNERATIONS : 66% en Europe (dont 2/3 de français), 23% Amérique du Nord (dont 3/4 USA, 1/4 Canada dont 50% Québec), 7% Asie et 4% Afrique. Et une audience en progression de 20% par semaine le dernier mois pour atteindre en moyenne 300 connections à titre unique par jour en moyenne et plusieurs jours de pointe à plus de 450. Vos sujets de prédilection : les Keynotes en particulier celle concernant la Négociation du Contrat de travail international, l'expatriation et le détachement, la prime d'expatriation (article 81 A du CGI), l'actualité des dirigeants et des rémunérations et toujours les Stock-options qui recueillent une audience très importante en proportion de ceux qui s'en voient attribuer réellement, a fortiori de ceux qui peuvent espérer en retirer une réelle plus-value.
Opportunité d'une version du site en anglais ?
Détails : Jacques-Olivier MEYER, DG INTELFI, +33.1.47.56.11.81
On approcherait d'une solution. Les dernières informations reprises par la presse française à paraître samedi matin 9/12 sont : M. Francis MER deviendrait Président du Directoire en remplacement de M. Mario COLAICOVO. Francis MER aurait donné son accord et l'aurait conditionné au renouvellement du Directoire. Quant à M. Jean-Paul BECHAT, il quitterait SAFRAN dès le Conseil du 12/12 prochain.
Est-ce une solution globale et validée qui sera enregistrée par le prochain conseil ou une possibilité susceptible de varier d'ici à Mercredi ? A suivre dans REMUNERATIONS.
Jacques-Olivier MEYER, DG INTELFI, +33.1.47.56.11.81
Parce que ce qui se passe chez SAFRAN est exemplaire des situations d'évolutions de structures (fusion SAGEM+SNECMA), de la redéfinition des stratégies d'entreprises, des questions de dirigeants et de personnalité... et de l'exercice du pouvoir par la "tutelle" politique, Rémunérations continue de suivre les dépêches, news, rumeurs en essayant de faire le tri dans ce buzz qui devrait cesser à l'issue du Conseil de Surveillance du 12 décembre prochain au cours duquel chacun a annoncé prendre ses responsabilités.
Cette semaine, les feux sont braqués sur M. Mario COLAICOVO, Président du Conseil de Surveillance qui d'après plusieurs dépêches serait "sur la sellette". Le processus ira t'il à son terme, quels en seraient les effets sur le mandat de M. Jean-Paul BECHAT, comment l'actionnariat salarié va t'il faire entendre ses droits de vote, apportant son soutien à l'Etat et de ses alliés ?
A suivre sur REMUNERATIONS : Jacques-Olivier MEYER, INTELFI : +33.1.47.56.11.81
Depuis le temps qu'on parle de la retenue à la source de l'impôt sur le revenu en France, certains avaient perdu espoir de voir un jour l'administration française mettre en oeuvre ce processus pourtant déjà en vigueur dans tous les autres pays de l'OCDE. Malgré les obstacles techniques (comment justement gérer l'année de transition), cette réforme permettrait aussi de faciliter l'imposition des salariés internationaux, ceux dont Intelfi s'occupe. Ils pourraient alors quitter la France et commencer à acquitter leur impôt dans le pays d'accueil (sans continuer à payer l'impôt français, générant pendant 1 an une double imposition).
Rappelons qu'aujourd'hui, le quitus fiscal n'existe plus, ce qui présente l'avantage de ne plus avoir à solder son IR avant le départ de France, en revanche, le cumul d'IR existe toujours et les internationaux y font face de différentes manières : ils prélèvent sur leur épargne, ils empruntent à leur entreprise. Ces façons de procéder ne sont pas neutres sur le financement et le coût de l'impôt, ainsi qu'incidemment sur la relation avec l'entreprise. Les clients d'Intelfi y sont confrontés. Donc vivement le prélèvement de l'IR à la source en France. Dès 2007/2008, après les présidentielles, ou peut-on compter sur l'enterrement du projet parce que l'opinion "ne serait pas prête"?
Du point de vue d'Intelfi et pour des raisons parfaitement pratiques, il faut y aller.
+ : contacter Jacques-Olivier MEYER, DG Intelfi, +33.1.47.56.11.81
Après des indications contradictoires sur la confiance accordée aux dirigeants actuels de SAFRAN, Thierry BRETON arbitre la situation : dans LA TRIBUNE de ce jour, le Ministre déclare que "La question de la gouvernance est clairement posée" et "Une page doit être tournée au sein du Conseil de Surveillance". On attendra néanmoins le Conseil de Surveillance du mardi 12 décembre prochain pour voir ce qui sera (ou pas) décidé et la forme utilisée, démission, révocation...
A suivre sur Rémunérations par Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi, +33.1.47.56.11.81
