Jacques-Olivier Meyer et les collaborateurs d'Intelfi vous présentent leurs bons voeux pour 2012.
L'audience de ce blog étant assez réduite, pour ne pas dire quasi-nulle pendant la trêve, celles et ceux qui n'ont pas envie, le temps de prendre connaissance de la suite, ou simplement autre chose à faire, sont dispensés de la lecture de la prose, voire de la gnose qui suit. C'est en tout cas la seule période dans l'année ou le présent journal prend un tour personnel, et ces lignes sont déjà programmées pour disparaître automatiquement dès la première minute de 2012. Marketingwise, vous lisez actuellement une sorte de billet/post "collector" !
A période(s) complexe(s), voeux concrets et réalistes, la personnalisation étant assurée par l'envoi d'un petit "bristol" de saison. L'absence de bristol 2012 passé le 15/01 de l'année au titre duquel il est émis n'aura pas d'autre signification que celle d'une base de données Intelfi imparfaite, malgré la part non négligeable du quantum horaire du cabinet qui lui est consacrée chaque année. "Quid licet Jovis, non licet bovis", sachant que le cabinet se place naturellement du côté "Bovis", caeteris paribus.
Ab initio, il serait facile, presque tentant de ne pas résister aux affres d'un angélisme de saison (trouvons auprès de nos proches - qui entre nous n'ont pour la plupart d'entre eux guère (plus ou moins) de motifs de réjouissance(s) supplémentaire(s) - les instants de plaisir, même fugaces, que nos entreprises, au sens large, risqueraient ou non de nous apporter, "la faute à des prévisions justifiant par avance et par ordre de gravité croissant : la procrastination, l'inaction, la prostration, l'immobilisme puis la statuaire, de céder à une mélancolie médicalement gluante, pour les plus démonstratifs demeurés ... à l'époque de l'affichage de symboles d'une réussite matérielle (qui n'a pas sa R***X à 50 ans ...), de montrer avec ostentation les stigmates (N.M., sens zoologique) d'une réussite qu'on sait ne pas être d'abord matérielle, ou au contraire de céder au défaitisme ambiant (quoique je fasse, simple électron dans l'univers, je serai en 2012 et pour au moins les 7 générations à venir, balloté par les vents mauvais d'une économie mortifère...).
Au contraire, 2012 conserverait sur le plan macro-économique et comme annoncé par nos oracles, augures et haruspices, pour des métiers de niche sachant se renouveler sans cesse et leurs clients intéressés, un potentiel de développement important. Dit sans langue de bois, Intelfi développe de nouvelles prestations pour ses clients de 2012, leurs premiers retours étant positifs. Le cabinet fait évoluer chaque année 15 à 20% de ses services, gagne et quitte/se fait quitter par environ 25% de ses clients, et c'est l'une des raisons identifiées de sa progression jusqu'à présent, ce malgré ou à cause des contextes économique, financier et social.
Ces voeux sont adressés aux 700 personnes objet de rencontres, sources d'échanges, objet d'intérêt réciproque et qui jouent un rôle pivot dans la vie, l'activité et la croissance d'Intelfi. Ils occupent sur une année "moyenne" 90% de mon temps, bien plus de mon intérêt. En clair, doivent se sentir concernés, a minima :
Les entreprises, groupes et PME qui ont apporté leur confiance à Intelfi en 2011. Aucun nom de client n'est jamais publié, le cabinet agissant comme suit : aux futurs clients, il est demandé de bien vouloir répondre à un bref questionnaire de manière à connaître nos liens éventuels avec certains de leurs salariés et/ou leur management, afin d'éviter toute ambiguïté éthique, tout conflit d'intérêt. Ces données sont mises à jour régulièrement. Aux clients "habituels", à "nos réguliers", il est présenté une situation des relations d'Intelfi dans leur branche professionnelle, sauf à ce que dès les premiers contacts, la relation du cabinet avec un concurrent soit en cours, auquel cas, le cabinet en tient le futur-ex client informé et l'oriente, s'il le souhaite, vers un cabinet ami. Transparence donc, qui "comme le tango, se dance à deux", comme l'affirmait sans trop risquer Milton Friedman, qu'il faut avoir l'inconscience de citer par ces temps de crises, alors que Keynes revient, sous différents prête-noms, sur le devant de la scène des politiques économiques et sociales.
Ces Groupes et PME qui nous confient des missions qui contribuent à leur développement international, qu'il s'agisse de la mobilité et l'expatriation de certains de leurs salariés loin, là où la croissance élevée et durable se trouve, ou au développement et au contrôle des coûts de leurs politiques de mobilité internationale et de gestion des carrières; s'il est techniquement relativement complexe de trouver le bon mélange statut+contrat+rémunération+fiscalité+assurances santé, retraite et chômage d'un français à l'étranger, a fortiori lorsque le client a une famille (c'est le cas habituel, comme vous et moi), des racines, un appartement, un attachement à son assurance-chômage française, une relative méconnaissance de l'étranger (qui commence pour chacun à une distance très variable), il reste bien plus complexe de réussir la période d'expatriation (rester et apprécier les performances) et de valoriser ce parcours au moment du retour, ce retour d'expatriation n'étant absolument pas un retour au point d'origine mais, comme tous les bons auteurs ont tendance à le répéter, une nouvelle expatriation.
On rappelle ici l'importance actuelle et le potentiel considérable à l'export des PME françaises dans le développement international, 1 400 entreprises (les groupes et quelques PME expertes) ayant assuré 75% des exportations françaises à l'étranger !
Les clients individuels dirigeants, cadres et experts que nous avons conseillés dans leur intérêt partagé avec celui de leur(s) entreprise(s), le conseil d'Intelfi étant tout sauf antagoniste, les missions initiées par des cadres et des dirigeants étant fréquemment reprises en cours de démarche et financées par leurs employeurs, ce qui soulage le salarié du coût de nos prestations sans modifier ni l'orientation, ni l'intensité des préconisations du cabinet.
Les grandes écoles et universités qui retiennent Intelfi comme speaker pour des conférences, ateliers, formations, dont le Celsa-Sorbonne où j'enseigne depuis maintenant 6 années en Master II RH et Communication les ... ressources humaines internationales et les rémunérations, les associations HEC (séminiare réussir son retour d'expatriation, partir à l'étranger, ESCP (booster sa carrière pendant la crise), les Ecoles des Mines, l'Agro Paris, l'EM Lyon (conférence à trois écoles et quatre voix sur les carrières internationales), les Université Paris I et Université Paris II,EDHEC, Centrale Paris, Ponts-et-Chaussées, et l'American Business School in Paris (Groupe IGS) auprès de leurs anciens élèves.
Les supports de presse qui retiennent Intelfi comme expert sur les sujets de la mobilité internationale, notamment LE FIGARO, LA TRIBUNE (longue vie), METRO, CADREXPORT (Web), L'EXPRESS, L'EXPANSION (longue vie), LE POINT, MANAGEMENT, LE MOCI, l'AGEFI, LE NOUVEL ECONOMISTE, la Revue H&C et bien d'autres ...Je leur souhaite de poursuivre leur mission quasiment d'intérêt public dans un contexte économiquement précaire, dont les racines sont bien antérieures aux crises actuelles. Sachons néanmoins rester dans son domaine de spécialité et ne pas reprendre l'historique de la descente aux enfers de France-soir depuis Pierre et Hélène Lazareff.
Les associations et réseaux de la SHRM (USA), de l'Institut Montaigne, le l'ANDCP/ANDRH, la Creative Education Foundation, l'Association des Anciens auditeurs de l'IHEDN/Ministère de la Défense France, Arthur Andersen Alumni, HEC Développement international, MEDEF 92 ... qui forment autant des cercles d'écoute et d'échange que de contacts intéressants, la diversité des milieux faisant en grande partie l'intérêt des reconcontres pafois business, toujours humaines.
Des excuses, voire des regrets à celles et ceux qui ne sont pas ici nommés ou oubliés, involontairement ou non, c'est sans aucun doute, dont mes 250 "amis" Linkedin, qui pour une partie d'entre eux, sont des partenaires de travail, hors réseaux sociaux virtuels, comme il sied de laisser "au virtuel" sa juste place.
Ce blog est suspendu pour 3 jours, le temps de libations modestes, bien plus de temps passé avec ceux qui me sont chers, n'appartenant pas à la catégorie des "craignos" de la fin d'année, apeurés par le minimum de sociabilité que nécessitent la rencontre avec de lointains cousins ou l'ouverture de débats sans fin et sans intérêt aucun sur ... l'élection 2O12. Il suffit de s'interdire de répondre à toute interrogation débutant par "toi qui es consultant, tu devrais savoir si ... ".
Au contraire, on rappelle que le consultant, s'il veut vivre de son "art", a tout intérêt à être ultra-spécialisé, ce qui peut avoir pour conséquence d'éprouver une difficulté certaine à expliquer en quoi son métier consiste auprès de profanes, à s'exprimer sur tout et n'importe quoi, ce qui n'est pas gênant en soi, puisque cela assure (cf. supra) une certaine tranquillité, notamment les soirs de 24 et 31/12, n'en déplaise aux spécialistes autoproclamés de "l'elevator pitch" ou de la vente forcée hors contexte, le démarchage forcé auprès d'amis, de la famille ou de "relatives" ayant toutes chances de gâcher une ambiance "festive et conviviale", comme la brochure du chateau de Monvillagerne le précise depuis 15 ans que leur automate e-mails m'a choisi (parmi d'autres) comme destinataire de leurs "offres spéciales".
C'est bien assez,
MERCI,
Excellentes fêtes,
Que cette nouvelle année vous appoorte sérénité, confiance et profits !
Jacques-Olivier Meyer - DG INTELFI - jomeyer(at)intelfi.com - www.intelfi.com - Tel : +33(0)1.47.56.11.81