Thème émergent et pourtant aussi ancien que la pratique de la mobilité internationale, les "expatriés", quel que soit leut statut, détachés, locaux, expatriés, pensent désormais à leur retraite, et ce, quel que soit leur âge. Il y a encore 7/8 ans, la question était l'apanage de celles et ceux qui pensaient prendre leur retraite à relativement court terme, soit moins de 10 ans, avec une urgence inversement proportionnelle à leur préparation sur le sujet. Désormais, les futurs expatriés comme ceux qui sont de retour veulent connaître les incidences de leur mobilité sur le montant de leur retraite à terme.
Or la question pour des non mobiles est déjà complexe, compte tenu de la réforme quasi permanente des régimes de retraite obligatoires français. Lorsqu'un ou a fortiori plusieurs pays tiers interviennet dans ce processus, la première question à se poser consiste à connaître l'existence d'une éventuelle convention de sécurité sociale entre l'état d'origine et celui d'expatriation, et son champ, notamment la transférabilité éventuelle des cotisations effectuées à l'étranger en prestations à terme en France (si c'est le pays d'origine) et les conditions de ce transfert, totalement ou partiellement neutralisant les périodes cotisées à l'étranger.
Notez qu'il est aussi possible, sous conditions, de racheter des trimestres de retraite, pour un volume réduit, un coût élevé, mais néanmoins, et on peut raisonnablement en faire le pari, moins élevé aujourd'hui que demain, compte tenu du rendement décroissant de la plupart des régimes occidentaux.
Pourquoi ne pas s'y atteler seul, puisqu'après tout, je serai le mieux placé pour connaître les dates, les montants cotisés, les pays dans lesquels j'ai vécu.Tout ceci est exact et il convient d'y ajouter la grande technicité du sujet, qui sera toujours plus vite et mieux traité par des experts du sujets dont une grande partie de l'activité est consacrée à cette pratique et qui feront vite et juste, le nombre de variable en cause pouvant dépasser la cinquantaine pour la partie Bilan et environ 25 pour la recommandation.
Quant au meilleur moment pour procéder, autant le faire en 2 mouvements successifs ;
le premier autour de la cinquantaine, lorsqu'une quinzaine d'années restent à travailler, ce qui permettra d'adopter des mesures correctives si nécessaires), de régimes surcomplémentaires à des fonds de pensions dédiés, à une revue de détail de la gestion de son patrimoine (ne se conseille t-on pas de père en fils de posséder sa résidence principale avant toute action en faveur de sa retraite ?) qui conduira à réorienter ses placements vers des actifs plus dédiés à une gestion mid-term, sous réserve bien sur que les prévisions de rendement des différents compartiments de placement se révèlent justes;
le second 2 à 3 ans avant la date de liquidation de la retraite prévue, dès lors que celle-ci est prévisible, certains licenciements intervenant à 60 ans mettant de fait et sous conditions le salarié en retraite, sans alternative possible, ou dans d'autres configurations avec un passage par le Pôle Emploi avant la liquidation de la retraite.
Bref, c'est ainsi compris par tous les clients d'Intelfi, qui d'eux mêmes ou avec une explication un peu détaillée, saisissent dès lors qu'ils ont effectué plus de 6 mois de leur carrière à l'étranger, ont tout intérêt à disposer des simulations les plus précises possibles sur le taux de leur revenu de remplacement ou pension, de manière à préparer à moyen terme les solutions d'épargne et de gestion de leur patrimoines les mieux adaptées dans ces circonstances. Intelfi passe d'ailleurs la main à des spécialistes de la gestion de patrimoine, une fois le bilan retraite internationale effectué, de manière à ce que le client bénéficie du conseil le plus efficace possible, sachant qu'on parle d'une période, la retraite, dont pour les cadres et les dirigeants, la durée médiane à progressé de 50% en 25 ans !
Pour parler de votre situation et voir si et de quelle manière Intelfi pourrait vous accompagner sur ce sujet, appelez le +33(0)1.47.56.11.81 ou jomeyer(at)intelfi.com. Pour en savoir plus, www.intelfi.com