Comme annoncé ces derniers jours, l'EDHEC, n°5 dans le classement des écoles de commerce publié par le magazine LE POINT du 12 décembre dernier, a retenu le cabinet.
Comme annoncé ces derniers jours, l'EDHEC, n°5 dans le classement des écoles de commerce publié par le magazine LE POINT du 12 décembre dernier, a retenu le cabinet.
Communiqué du 5 février 2009 : "En matière de pilotage de carrière internationale, l'EDHEC a choisi de proposer à ses diplômés les prestations du cabinet de Conseil en Ressources Humaines internationales Intelfi".
Je suis particulièrement heureux que le cabinet ait été retenu par l'EDHEC, Ecole dont les différents cursus sont très ouverts à l'international et qui compte parmi ses Anciens élèves l'un des taux de dirigeants et cadres internationaux les plus élevés. L'offre d'Intelfi pour l'EDHEC peut être consultée ici .
Intelfi, Jacques-Olivier Meyer and his team wish ALL THE BEST to their Clients, Companies, Executives and Managers, Universities and Schools.
Voici les principaux séminaires au cours desquels Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi, interviendra en octobre, novembre et décembre de cette année. Pour plus d'informations, merci de contacter le cabinet au +33.1.47.56.11.81 ou les écoles concernées :
- le 28 octobre : INSEAD ALUMNI à 18h30 • conférence sur la mobilité internationale et la gestion des
carrières, plus d'informations ICI
- le 13 novembre 2008 : Association des diplômés HEC • animation soirée groupement activités internationales, plus d'informations,ICI
- le 26 novembre : ESCP-EAP à 18h30 • conférence "Gérer sa carrière internationale, 10 atouts à connaître, 10 pièges à éviter". Plus d'informations, c'est ICI
- le 3 décembre : Ecole des Ponts et Chaussées (ENPC) à 18h30 • conférence "Réussir à l'international"
Plus d'informations, c'est ICI
- les 12 & 19 décembre : CELSA - La Sorbonne : séminaire Ressources Humaines internationales
Plus d'informations, c'est ICI
- les 22 & 23 décembre : Association des diplômés HEC • séminaire “Réussir son retour d’expatriation”
Plus d'informations, c'est ICI
C'est le titre d'un séminaire de l'association HEC dont le pilote s'est déroulé les 17 et 18 juillet derniers. La 2ème session est prévue les 22 et 23 décembre prochains. Pour en savoir plus, contactez Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi +33.1.47.56.11.81.
Video de présentation sur le site de l'association HEC, rubrique Focus, séminaires carrières.
Le parlement hollandais vote actuellement une loi visant à limiter, par des mesures fiscales, la rémunération des dirigeants. A compter du 1er janvier 2009, les dirigeants des sociétés cotées à la bourse d'Amsterdam devront se soumettre à 4 mesures impératives :
1 - les primes seront imposées à un taux fixe de 30%, si elles s'ajoutent à un salaire annuel fixe supérieur à 500 000 €.
2 - les actions de l'entreprise détenues par les dirigeants seront immobilisées/gelées dès l'ouverture de pourparlers sur des opérations susceptibles d'avoir une influence sur le cours du titre, incluant la situation spécifique de rachat de l'entreprise.
3 - les sociétés s'exposent à une pénalité de 15% d'impôt supplémentaire sur l'ensemble de leurs revenus si le salaire d'un de leurs dirigeants est augmenté quelques mois avant son départ à la retraite, dans l'objectif d'augmenter la base de calcul de la pension
4 - les administrateurs de fonds d'investissement seront taxés à 25% sur les bénéfices tirés de leurs actions dans leurs propres sociétés.
Cette proposition, en cours de vote, est une réaction du législateur à de récents abus en matière de rémunération, notamment au sein de ABN-AMRO, dont le PDG avait réalisé une plus-value de 30 millions d'Euros dans le cadre de la vente de l'entreprise. A ce bonus, s'est ajouté à l'époque une prime de départ de 4 millions d'Euros, qui a déclenché une vive réaction y compris au sein du patronat néerlandais. Néanmoins, ce dernier communique sur le fait qu'il n'entend pas "payer" pour les excès de quelques patrons indélicats.
Commentaire : on suivra le vote et l'application de cette mesure, susceptible soit d'entraîner des pays voisins dans la même logique, ou au contraire d'isoler les Pays-Bas dans une communauté économique qui peine à trouver les règles applicables en matière de rémunération des dirigeants.
Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi, +33.1.47.56.11.81
Avant même la déclaration de Alan Greenspan sur la crise en cours "Je n'ai jamais rien vu de pareil", les directions des établissements financiers ont décidé de revoir les systèmes de bonus en vigueur, notamment dans les salles de marché. Intelfi conseille actuellement l'une de ces entités.
Les tendances : réduction de la valeur globale des bonus, suppression des bonus garantis, structure du bonus révisée, la part individuelle devenant pondérée par la part collective (limiter les boni exceptionnels dans des conjonctures dégradées), paiement du bonus partiellement (part à définir) en titres de la banque, allongement de la période de versement (pluri-annuelle) au titre de laquelle le bonus est versé.
Les objectifs sont les suivants : dépenser moins, distribuer plus "justement" en interne et par rapport aux impératifs de communication institutionnelle, fidéliser les meilleurs afin d'éviter autant que possible les départs des stars et le maintien de ceux réalisant les performances les moins élevées.
A suivre : l'application immédiate/différée sur les boni à percevoir au titre de 2008, à moins que les résultats qui s'annoncent très dégradés sur la période ne suffisent à laminer les rémunérations variables, sans aucune réforme supplémentaire. Auquel cas, les nouvelles règles ne s'appliqueraient que sur les rémunérations variables à percevoir au titre de 2009, soit dans 18 mois... ce qui laisse toutes les configurations possibles, notamment selon l'état des marchés au cours du prochain semestre.
Plus d'informations : Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi, +33.1.47.56.11.81
Dans Legal Week (US) de cette semaine, l'article suivant sur la transaction passée par les dirigeants de plusieurs sociétés Hi-tech US dans l'affaire des Stock-Options antidatées de 2004 à 2006 est à lire. Un accord a été trouvé pour arrêter l'action de la justice. On rappelle que cette procédure est très courante aux Etats-Unis et qu'elle ne vaut absolument pas reconnaissance d'une faute. Cependant, les sommes versées par les dirigeants visés représentent une fraction non négligeable de la plus-value réalisée, frauduleusement ou non. A suivre pour les autres Sociétés concernées. Contact : Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi, +33.1.47.56.11.81.
Tiré de LEGAL WEEK (US) : semaine du 8 septembre 2008
Apple and several of its officers and directors, including chief executive Steve Jobs, have agreed to settle a stock options backdating case for $14m (£8m), plus legal fees and costs, reports The National Law Journal.
According to court filings this month, Apple also agreed to pay $7.3m (£4.1m) in legal fees and $300,000 (£171,000) to plaintiffs in the federal actions, as well as $1.2m (£683,000) in legal fees and $50,000 (£28,500) in expenses to plaintiffs.
The company also agreed to certain corporate governance changes.
On Monday, a federal judge preliminarily approved the settlement and set a final settlement hearing 31 October.
In addition to Apple and Jobs, the defendants are: former chief financial officer Fred Anderson and chief financial officer Peter Oppenheimer; chief operating officer Timothy Cook; former general counsel Nancy Heinen; senior vice president Ronald Johnson and former senior vice presidents Mitchell Mandich, Jonathan Rubinstein and Avadis Tevanian Jr; and board members William Campbell, Millard Drexler, Arthur Levinson and Jerome York.
Last month, Heinen agreed to pay $2.2m (£1.25m) to settle options backdating charges brought by the US Securities and Exchange Commission (SEC). Anderson had agreed last year to pay $3.5m (£2m) to settle SEC claims against him.
In court papers, the plaintiffs said the settlement "provides an excellent monetary recovery." While maintaining the merit of their case, plaintiffs acknowledged the expense and length of continuing the litigation. So did Apple and the individual defendants, who denied liability.
In court papers, Apple said "most of the grants cited in the federal complaint could not give rise to recoverable damages because they were not misdated or the grants were cancelled before they were exercise, thereby providing no benefit for the grant recipient and imposing no loss on the company. Proceeding with the litigation, however, will impose extensive and unrecoverable costs in the form of attorneys' fees and expenses."
Apple also said the plaintiffs had a high unlikelihood of succeeding, given, among other things, claims that were time-barred.
The settlement ends 14 derivative federal actions and five state derivative suits brought against Apple.
An internal investigation at Apple found stock option grants had been backdated from 1997 to 2002 but no member of management, including Jobs, was accused of any wrongdoing.
The revelation forced the company to record $84m (£47.8m) in expenses.