Parution
A remarquer dans le dernier n° , le 314, de la revue des anciens HEC un article intitulé "Mobilité internationale : s'expatrier, c'est tout sauf de l'improvisation" signé par Jacques-Olivier Meyer (M89), DG d'Intelfi (www.intelfi.com). L'article passe en revue les éléments du "package" à négocier avant de décider ainsi que des éléments de stratégie de négociation bien utiles quand on dispose de très peu de temps pour traiter de sujets cruciaux...
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LA NOUVELLE MOBILITE INTERNATIONALE : PARTIR, REUSSIR, REVENIR. LE SITE INFORMEL & INFORMATIF D'INTELFI, SOCIETE DE CONSEIL EN RH & MOBILITE INTERNATIONALE
Voici le carnet de route de nos clients particuliers; sujets traités au fil du temps et questions récurrentes; tous s'accordent sur l'exercice d'équilibriste que la mobilité internationale constitue, "un sprint sur la durée d'un marathon", "un crash-test pour ma famille" pour ne citer que deux remarques les plus vives. Et les spécialistes de l'entreprise, les DRH, ont parfois besoin de conseil, tant la pratique est différente. Quelles sont les questions-clé des "expats" et de leurs proches ? Quelles réponses ? Dans le désordre, comment "être attendu", en clair chercher et trouver son job à l'étranger ? Quels réseaux utiliser et fidéliser dans mon pays-cible ? Quelles demandes sont inévitables parce que nécessaires et crédibilisantes, éventuellement à produire parce que culturellement attendues, ou au contraire à proscrire parce que localement discriminantes alors que constituant un standard en France? Comment gérer un projet singulier, puisque j'en serai toujours l'objet ? Mais aussi, à traiter au plus tôt, quels seront les effets sur l'emploi de mon conjoint, ma fiscalité à l'étranger et en France, "nos" protections sociales (santé, retraite, prévoyance, chômage) à l'étranger et en France ? Mon statut et mon contrat ? Connaître mon "net en poche" pour définir si le coût de la vie local fait de la proposition reçue une occasion "impossible" à refuser, matière à négociation, ou réflexion sur mon mix et sa présentation jusqu'alors. Voici à travers les 2 500 missions d'Intelfi sur une décennie notre expérience de conseil opérationnel. Cherchez, trouvez, appelez le cabinet pour en savoir plus : Jacques-Olivier Meyer, INTELFI - direct : +33(0)1.47.56.11.81 - E-mail to : [email protected]
mardi 29 août 2006
Revue HEC n°314 : à remarquer
lundi 28 août 2006
ARTICLE 81A
L'aticle 81A du Code Général des Impôts (CGI) offre des possibilités fiscales intéressantes pour les salariés amenés à se déplacer fréquemment hors de France.
D'expérience, les entreprises sous-utilisent ces opportunités qui bénéficieraient directement à ceux de leurs salariés éligibles et permettraient au moins indirectement la modulation des politiques de rémunération des Managers.
Quelles sont les raisons de cette position de retrait d'entreprises par ailleurs très précises dans d'autres élements d'optimisation fiscale ?
Pour des réponses opérationnelles, contacter Jacques-Olivier MEYER, DG Intelfi, +33.1.47.56.11.81 ou "[email protected]".
OPTIONS DE SOUSCRIPTION & L'OFFRE DE LAURENT FABIUS
C'est la période des discours et programmes. Laurent Fabius propose que les avantages fiscaux et sociaux attachés aux OSA soient limités aux 5 premières années de l'entreprise.
Cette orientation n'est pas angélique, on croit peu à un code de bonne conduite spontanément partagé et respecté, pas idéologique, au moment ou d'autres promettent la suppression totale des stock-options, mais bien pragmatique, lorsque les OSA sont situées dans leur finalité d'origine : celle de placer les dirigeants de nouvelles entreprises prometteuses en position de percevoir à moyen terme les résultats que l'entreprise ne peut rémunérer immédiatement car elle n'en a au cours des premières années ni les moyens, ni la visibilité.
Espérons que cette limitation dans le temps ne donnera pas lieu à la frénésie habituelle. Faute de temps, les outils de rémunération sont accumulés empilés et les effets d'aubaine guident les décisions d'attribution.
A suivre...
WORLD CLASS EXECUTIVES ?
L'idée d'une "World class Executives" selon laquelle des dirigeants de très grandes entreprises seraient internationalement mobiles, ce qui justifierait une (retention) rémunération supplémentaire est répandue, séduisante ... et probablement fausse.
Démonstration.
La crainte de ne pas se situer "au niveau du marché" salarial des dirigeants, d'être mal placé dans la compétition pour séduire et retenir les meilleurs justifie une production intense de nouveaux outils de rémunération par les entreprises, leurs conseils et un législateur "économiquement patriote"
Réalité
