CHIFFRES 2005
Rémunérations des patrons américains : + 20% 2005/2004 (entreprises du S&P 500), source FT
. variation du total salaire, bonus, stock-options
. augmentation moyenne des profits des entreprises ciblées : +15%
. dividendes versés aux actionnaires : +9%
contact : Jacques-Olivier MEYER on www.intelfi.com
e. mail : [email protected]
tél : +33.1.47.56.11.81
fax : +33.1.70.79.05.42
Certains dirigeants de sociétés américaines décident de se mettre de préférence au service d'entreprises non cotées. Explications :
. le pouvoir accru de grands actionnaires entraverait la liberté de décision de "dirigeants cotés"
. des rémunérations, celles des sociétés non cotées souvent bien plus élevées que celles de cotées
. l'application de législations bien plus sévères aux sociétés cotées (Sarbanes-Oxley)
. plus de liberté dans des opérations de LBO/MBO potentiellement rémunératrices
Le débat porte effectivement sur la création de valeur : le non-coté en permet-il plus parce que les activités sont par nature plus dynamiques, novatrices et en phase de forte croissance ou simplement parce que le législateur et les autorités de contrôle sont moins exigeants car concentrés à éviter de nouveaux scandales de sociétés cotées ?
A suivre
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Intelfi et Rémunérations traitent notamment de la rémunération et de la fiscalité des expatriés. Une étude du Ministère du Travail français fait le point sur les Impatriés, salariés étrangers que les entreprises font travailler en France :
. de (trop) nombreuses formalités auprès de nombreuses administrations
. des critères d'admission trop rigides
. une application changeante des critères suivant le lieu, la situation, la personne
. une interface bloquante avec le permis de travail et la carte de séjour
Lire la suite "EXPATRIES ET IMPATRIES : effets désirés ou induits ?" »
Rémunérations est ouvert depuis 2 mois.
Point d'étape :
- 35 articles publiés dont 2 keynotes (stock-options et négocier le contrat de travail international)
- plus de 500 commentaires dont un petit nombre publiables en l'état : je dois décider qu'en faire
- commentaires : conserver la sincérité en même temps que l'orientation du site : pas si simple
La suite :
Ce qui n'était initialement qu'un test sera poursuivi pour donner satisfaction aux différents publics qui fréquentent le site (grand public, prospects, clients, étudiants) en nombre puisqu'on atteint les 14 352 connections à titre unique sur la période, sans publicité, sur un site qui rappelons le a un angle assez spécialisé sur la rémunération, les dirigeants, le contrat de travail international, la mobilité internationale et Intelfi.
Prochain point le 28 décembre 2006.
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L'Association HEC (Christophe LABARDE, Alain NEBOUT) et le Harvard Business Club de France (Claude COHEN) organisaient mardi 23 octobre une soirée Speed dating.
Instant Gratification principle (en) : principe consistant à mettre à profit la moindre opportunité de rencontre pour initier des contacts et trouver des solutions à ses questions, ici professionnelles, sans pour autant connaître son interlocuteur de longue date. C'est ce qui a été appliqué hier soir avec une belle réciprocité.
Premiers résultats : 9 contacts pris en 1h30; voici une productivité imbattable et à la clé la possibilité de mettre en relation plusieurs interlocuteurs avec mon réseau et de continuer les présentations d'Intelfi auprès de nouveaux publics particulièrement sur la négociation du contrat de travail international.
Merci et bientôt ici les résultats concrets de cette première
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ENQUETE EN COURS :
Chiffres
. 145 entreprises américaines enquêtées par la SEC
. 33 dirigeants quittent leurs fonctions
. 260 agents du FBI enquêtent directement sur 55 entreprises
Suites
Alors qu'il y a quelques jours, le scandale semblait circonscrit à un nombre donné d'entreprise, l'enquête...
STOCK-OPTIONS US : EN PRATIQUE
Pour Gene Munster, de Piper Jaffray, il ne fait pas de doute que Steve Jobs va rester à son poste ...
STOCK-OPTIONS US : QUEL SCANDALE ?
Faits : depuis juin 2006, les révélations se succèdent sur la pratique consistant à antidater les stock-options de manière à effacer le risque d'une plus-value faible ou nulle et maximiser sans aucun aléa la plus-value. Tout ceci est pour l'instant circonscrit à certaines sociétés cotées américaines, principalement dans le Hi-tech (Activision, MC Afee, Apple, Cnet...).
A noter tout de même que 2200 sociétés sont soupçonnées d'avoir triché et 100 enquêtes de la SEC sont actuellement en cours.
Contexte : la tricherie survient alors que Enron et d'autres affaires majeures ont légitimé le développement d'une législation plus sévère (Sarbanes-Oxley) devant en principe rendre bien plus difficiles et visibles ces manipulations. On note par ailleurs que les stock-options sont devenues la principale source de revenu des patrons américains (cf. étude de The Corporate Library) quelle qu'en soit la forme (incluant les restricted stock-options).
DEUX AXES structurent le débat actuel sur les rémunérations et l'opportunité d'une "autorité de régulation" :
1 - la transparence : comment la développer ?
2 - l'autorité : comment imposer un ensemble de règles cohérentes ?
La tentation d'instaurer un gendarme des rémunérations, haute autorité, agence, on l'appellera comme on voudra, bute sur 2 difficultés :
HEC/INTELFI
Le blog rémunérations est désormais référencé en excellente compagnie dans les blogs de l'association HEC : http://www.groupehec.asso.fr/blogs.php . A visiter d'urgence !
