PARTENARIATS GRANDES ECOLES/INTELFI
Comme Intelfi en dispose avec la grande majorité des écoles d'Ingénieurs et de commerce, le partenariat avec l'ENSAM, l'Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers et sa Société, la bien nommée "Soce" (Association des anciens élèves) est bien vivant. Le cabinet (Jacques-Olivier Meyer, son DG) anime l'atelier "travailler à l'international" trois fois dans l'année. C'estnon seulement l'occasion de transmettre de l'expérience mais surtout d'échanger avec des jeunes diplômés ou expérimentés, tous animés par le souhait d'accomplir au moins une partie de leur parcours à l'international, domaine d'expertise d'Intelfi.
LES BONNES QUESTIONS : DIAGNOSTIC DE 250 QUESTIONS !
L'international étant pleinement intégré aux parcours d'études au sein des écoles des Arts et Métiers, chaque projet de mobilité étant spécifique, la demande de conseils est vive, et l'animation par la Société des Arts et Métiers mobilise les moyens nécessaires pour apporter aux anciens élèves les éléments de sensibilisation qui leur permettront de répondre au cours des trimestres précédant une expatriation aux questions suivantes : quel statut et protections pour moi et les miens ? Suis-je vraiment prêt pour l'international ? Quelle région/quel pays ? Comment chercher, trouver ? Pour y exercer quelles fonctions ? Quel est la valeur du job en termes monétaires ? Avec quelle projection à terme vers un retour en France ou un autre poste à l'étranger, le fameux what's next ? A quelle échéance ? Que me reste t-il à entreprendre avant de décider avec les miens ? Quid de la carrièrevde mon conjoint, de la scolarité de mes enfants ? Quelle sera la différence d'impôt sur le revenu et quelles sont les dispositions de la convention fiscale éventuelle ? Qui paierait un différentiel d'impôt en ma défaveur ? Comment ma santé et celle de mes proches sera t-elle couverte à l'international ? Et qu'en sera t'il de mes retraites de base et complémentaire selon que la France et mon pays d'expatriation ont ou non conclu une convention de Sécurité Sociale ? Intelfi a recensé 250 questions-clé à se poser/à poser et résoudre soit avec son employeur, soit au cabinet en phase de préparation/étude de faisabilité.
REPONSES ARTS ET METIERS MAG
C'est justement à ce type de questions que l'article paru dans le dernier numéro d'Arts et Métiers Mag apporte une réponse globale, la personnalisation indispensable après cette sensibilisation constituant une deuxième étape que l'employeur et le salarié, dans le cas d'une mobilité intra-entreprise, devra prendre à sa charge, soit en la confiant à son département RH "Mobilité internationale", soit en le confiant à un cabinet externe tel qu'Intelfi, qui a accompagné en 9 ans d'existence plusieurs milliers de dirigeants et salariés.
On rappelle aussi l'émission conçue et animée par la Société des Arts et Métiers, à voir ou revoir pour compléter son information sur le sujet.
CE QU'ON DOIT EN ATTENDRE - QUAND FAUT-IL ALLER PLUS LOIN ?
Dans cet article, figurent les meilleures réponses à ce premier niveau de questionnement. C'est indispensable avant "d'aller plus loin" dans la direction d'une mobilité internationale, dont on rappellera que l'une des grandes spécificités, contrairement à un job "résident", concerne non seulement son parcours pro, c'est la constante, mais aussi personnel (quelle est ma motivation personnelle profonde pour mettre un ou deux océans entre mon pays d'origine et mes nouvelles fonctions) et familiale (sauf à être jeune diplômé encore célibataire sans enfant, la majorité des "expatriés" part en famille, ce qui nécessite a minima une concertation.
90% DES EXPATRIATION : LE PROBLEME DES DIPK
D'expérience, 90% des projets de mobilité internationale concernent des DIPK (Double Income Plus Kids) et sauf double mobilité professionnelle simultanée qui reste exceptionnelle, l'expatriation revient à court terme à rompre le contrat de travail du conjoint non "moteur d'expatriation", quitte à lui créer dans certaines conditions un préjudice de carrière au retour, véritable "bombe à retardement" personnelle, qu'il est possible de prévenir et de corriger s'il est traité en amont du départ.
ARTICLE
Pour en savoir plus : lire Téléchargement 2015_03_ARTS&METIERS_MAG.pdf
Sur les problématiques plus spécifiques : contacter INTELFI : [email protected], /33.1.47.56.11.81
REMERCIEMENTS A
Maurice COURBATIEU, Responsable Emplois-Carrières Société des Arts et Métiers, Joëlle PLANCHE-RYAN qui développe au sein de la SOCE de multiples actions avec dynamisme et opiniâtreté, notamment vers l'international, Eric ROUBERT qui est Rédacteur en Chef d'Arts et Métiers Mag et à ce titre instigateur et animateur du débat video et de l'article ci-dessus.INTELFI les remercie chaleureusement.