La presse se fait l'écho d'une pratique répandue et méconnue, celle des entreprises internationales salariant certains de leurs cadres dans un pays tiers pour économiser une partie des charges de sécurité sociale. Exemple : TOTAL salarie en Suisse et "détache" en France environ 500 personnes. Rien à redire sur l'utilisation internationale des compétences suivant les nécessités de l'entreprise.
Lire la suite "ATTRACTIVITE FISCALE : exceptions en France" »
Du congrès de la CONFEDERATION OF BRITISH INDUSTRY, il ressort que la fameuse attractivité fiscale du pays serait en net retrait. Fiscalité des entreprises : UK est classé derrière l'Irlande qui poursuit son dumping fiscal suivie des Pays-Bas. Effets concrets : les délocalisations de HQ se multiplient. Fiscalité des personnes : UK demeure bien placée notamment pour des raisons structurelles liées au niveau de protection sociale des salariés et de l'IR. Quant à la France, elle attire peu de nouveaux HQ d'entreprises internationales malgré les amendements successifs du régime des quartiers généraux. Problème d'image ou réel déficit de compétitivité fiscale ?
Détails : INTELFI :: Jacques-Olivier Meyer :: +33.1.47.56.11.81
Excellent article dans "LES ECHOS" d'aujourd'hui. "Les métiers du conseil tirent les leçons de la crise". A consulter pour mieux utiliser INTELFI qui tient biensur compte de la mutation/assainissement de la relation client intervenue ces dernières années.
Indication contradictoire avec l'info publiée hier matin : Challenges dans sa rubrique confidentiel explique que chez Safran, la "guerre" SAGEM/SNECMA se terminerait en faveur de SNECMA après l'arbitrage du Ministre de l'Economie. M. Jean-Paul BECHAT resterait en fonction jusqu'au terme de son mandat dans 2 ans.
A suivre au moins jusqu'au 12 décembre prochain, date du prochain conseil de surveillance. Que feront les actionnaires salariés dans ce contexte ?
Information : Jacques-Olivier MEYER, DG Intelfi, +33.1.47.56.11.81
Suite de ma note du 11/09 dernier sur les actionnaires salariés de SAFRAN qui veulent faire entendre leur voix dans le conflit de direction générale qui se prolonge : l'état (le cabinet de Thierry BRETON et celui de Michèle ALLIOT-MARIE) s'implique pour trouver une solution "acceptable" par les majoritaires (env. 38%) et les actionnaires salariés (19,2%) dont les termes seraient :
Les récents scandales sur la rémunération des dirigeants donnent lieu aux critiques habituelles sur l'inefficacité et l'insuffisance des moyens de contrôle. Pourtant, l'arsenal s'est beaucoup étoffé ces dernières années. Petite revue de détail et effets de la transparence toute récente :
Lire la suite "CONTROLE DES REMUNERATIONS : QUOI DE NEUF ?" »
5% de la population française, soit 3 millions de personnes résident hors de France; parmi eux, les professionnels expatriés, détachés et en mission pour des durées allant de 6 mois à toute une vie, avec leurs familles. Pas si mal pour une nationalité souvent caricaturée comme particulièrement peu mobile et assez casanière. On peut aussi s'intéresser aux raisons de cette mobilité internationale : réelle mobilité d'essaimage des entreprises française ou fuite des cerveaux et perte de compétences ?
Les chiffres publiés par "Enjeux Les Echos" ne permettent pas de trancher. Selon l'étude, les destinations les plus fréquentes sont :
IDEE RECUE : les stock-options sont réservées aux dirigeants et distribuées discrétionnairement. La participation est un des outils de la rémunération collective obligatoire. Autant dire qu'une vision complémentaire de ces 2 outils situés aux extrémités de la palette ne vient pas spontanément à l'esprit. Et pourtant :
Lire la suite "STOCK-OPTIONS & PARTICIPATION : pour un régime par options" »
URGENT : IL RESTE 40 JOURS
Les conditions d'obtention de la prime d'expatriation (Article 81 I, 81A II, 81 AIII du CGI ) ont changé cette année et il convient de suivre à la lettre les nouvelles prescriptions pour éviter toute requalification coûteuse, pénible et susceptible de compliquer la relation entreprise/bénéficiaire.
Information disponible : Jacques-Olivier Meyer (INTELFI) au +33.1.47.56.11.81
LES ECHOS du 15 novembre mentionnent "selon leurs informations" que M. Zacharias a saisi le Tribunal de Commerce de Nanterre contre VINCI. Il contesterait l'incidence de son départ (en clair la perte) sur les stock-options détenues non encore exercées. Une partie de l'argumentation tient aux conditions du départ qui ont un effet sur les droits à options très différent selon qu'il est considéré que M. Zacharias a démissionné ou a été révoqué. Tout semble assez clair au regard des conditions de son départ et c'est sans doute trompeur. Alors transaction (rapide) ou jugement : à suivre sur ce blog.
Plus d'informations : +33.1.47.56.11.81 : Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi.
