Le G16+ est un club réunissant les Clubs Carrières des grandes écoles de gestion et d'ingénieurs françaises. Il a publié en 2007 une étude sur la mobilité internationale. Réflexion, chiffres, adresses : c'est une base d'informations à utiliser. A lire ici.
Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi, +33.1.47.56.11.81
POUR TOUS CEUX QUI VOYAGENT BEAUCOUP, MOINS D'IMPOTS (IR) : LA (NOUVELLE) PRIME D'EXPATRIATION.
On rappelle que le législateur permet aux résidents français "grands voyageurs" d'exonérer d'impôt sur le revenu, sous des conditions formelles à respecter absolument, la part des rémunérations (sur-rémunérations) correspondant aux déplacements internationaux. L'instruction fiscale du 31/12/2007 en la matière précise les nouvelles conditions.
Sa mise en oeuvre dans les formes permet de bénéficier d'un IR calculé sur les seules rémunérations liées à l'activité professionnelle résidente. A noter que cela concerne ceux qui restent résidents de la France. C'est une sorte de "lot de consolation" très correct avant d'atteindre, pour certains seulement, le seuil des 183 jours.
On rappelle que ce seuil n'est pas le seul critère de détermination de la résidence fiscale et de lieu d'acquittement de l'IR. En clair, on peut très bien passer 200 j par an hors de France et devoir ou pouvoir en rester résident fiscal. L'inverse est aussi exact, avec une étude précise des éléments de conformité et d'optimisation.
Etre conseillé sur sa fiscalité et son pays d'imposition, optimiser son impôt sur le revenu français lorsqu'on se déplace fréquemment à l'international, connaître les détails de l'article 81 A et ses avantages : contacter INTELFI, Jacques-Olivier Meyer, DG, +33.1.47.56.11.81
Après l'étude de Haygroup démontrant une progression supérieure à 30% de la rémunération des dirigeants des sociétés du SBF 120 en 2007, Proxinvest constate dans son étude une baisse nette de 3%. Qui faut-il croire ?
Et bien les 2 études sont sincères. Simplement, elles ne reposent pas sur les mêmes bases, Proxivest inclue les Stock-Options qui n'ont pas vraiment flambé pour celles à lever en 2007, alors que Haygroup les considère distinctement, leur caractère aléatoire et non réellement relié à la performance individuelle étant justement de nature à inverser ou du moins perturber ce type d'études.
Au delà des résultats de ces 2 études, le problème soulevé est toujours le même. Le sujet est si technique et si polémique que les différents publics ont vite fait de s'enflammer sur les résultats, quels qu'ils soient.
C'est pour cela qu'Intelfi va reconduire son étude Cadres et Dirigeants en 2009, en faisant préalablement valider par ses clients les bases et sources des calculs...d'ailleurs, l'étude ne devrait pas être publiée dans la presse, mais réservée aux sociétés qui y auront participé. Nous avons à ce jour et pour 2009 10 engagements et il reste 10 mois pour en obtenir au moins 60, dont 80% à l'international, critère de pertinence de l'étude.
Il est prévu que les Grandes écoles, notamment HEC, se voient confier la partie des résultats concernant leurs anciens par rapport au marché.
Jacques-Olivier Meyer • Intelfi • 01.47.56.11.81
A paraître dans La Tribune datée du 12 février 2008 les résultats d'une étude du Cabinet Hay. En résumé, l'étude démontre que les dirigeants français (CAC 40/SBF 120 & 15 entreprises "emblématiques") ont gagné 40% de plus en 2007 que l'année précédente.
C'est la part variable qui a permis cette (forte) progression. A noter que le variable prend une part croissante en fonction du niveau de responsabilités.
A vérifier : la connexion entre les bonus perçus et la progression des résultats économiques des entreprises concernées ...et le lien avec l'action personnelle de leurs dirigeants.
A rappeler : Intelfi conseille les dirigeants et cadres... et ceux qui les emploient sur les meilleures stratégies de motivation et de fidélisation, à l'international. Remarque : la part d'international dans les activités des entreprises concernées par cette étude est proportionnellement moins importante qu'au sein d'entreprises comparables au Royaume-Uni, en Allemagne, au Japon et aux USA.
A compléter par Intelfi dans les semaines à venir par des données micro-économiques de certains clients, données susceptibles d'apporter un regard qualitatif sur les pratiques analysées par l'étude Hay.
Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi, +33.1.47.56.11.81
Comme chaque année, j'ai eu le plaisir de faire mon séminaire au Celsa.
Voici quelques éléments de bilan susceptibles d'intéresser tous ceux que l'enseignement supérieur concerne, des étudiants de l'Université, des Ecoles de Commerce et de Gestion, Ecoles d'ingénieurs, et cycles supérieurs courts.
Le Celsa est une exception, grande école au sein de l'Université. Les étudiants bénéficient de moyens humains, techniques et logistiques plus proches de ceux des grandes écoles que de ceux habituellement mis en oeuvre à l'Université, en France. La dimension Recherche, sur laquelle le Président de la République semble avoir des idées de réforme, y est présente, y compris au sein du Master II dans lequel j'interviens.
Et ce n'est pas une caricature de recherche en Sciences Humaines un peu théorique et fumeuse comme ses détracteurs la dépeignent. J'ai confirmé cette année au contact des étudiants dont j'avais la responsabilité momentanée que c'est une véritable richesse de concilier la qualité intellectuelle et l'exercice de l'esprit critique avec la connaissance des entreprises. Réforme, peut-être, préservation des richesses de niches, sûrement, absence de blocage par principe, difficile d'y croire...
Rien n'est parfait, évidemment. On peut reprocher aux étudiants du Celsa leur faible niveau en langues et à l'administration la sélection à l'entrée, qui aboutit a une assez grande régularité des profils que je retrouve chaque année. En clair, si la "diversité" n'est pas en soi un objectif, la comparaison avec les Ecoles de Commerce dans lesquelles j'interviens est frappante. A HEC et à l'ESCP, 50% des promotions ont vocation à travailler à l'international, le plus souvent d'ailleurs parce qu'elles en proviennent. Dans ces contextes, la "diversité" est privilégiée et c'est un argument de communication important. Au Celsa, j'ai appris un peu par hasard le parcours international de certains étudiants... qui n'ont pas à rougir de la comparaison avec leurs camarades des Grandes Ecoles.
Intervenant dans les 2 types de structures (Ecoles et Université), je connais aussi la schizophrénie de chacun de ces milieux. Il est toujours amusant/surprenant/irritant de recueillir, sans les avoir recherchées, les mêmes remarques des universitaires à l'égard des écoles, et réciproquement, comme si ces 2 milieux étaient séparés par une barrière étanche, alors que les double cursus sont de plus en plus nombreux, notamment grâce aux MBA, MS et autres 3ème cycles que de nombreux étudiants de l'université peuvent réaliser dans les écoles. Ils se retrouvent d'ailleurs ensuite dans l'Entreprise. Ainsi, les clients d'Intelfi sont fréquemment des personnes ayant suivi l'un des 2 cursus ou, de manière croissante, les 2, avec une majeure Université (Bac + 3 Licence) et admission parallèle ou Bac +5 Master et MBA/ Master II.
Pour conclure momentanément sur ce sujet, j'ai été, bien plus que l'année dernière, intéressé par le travail et l'implication des étudiants dont j'avais la responsabilité. J'ai apprécié leur niveau théorique et leur capacité à traiter professionnellement le cas que je leur avais soumis, en peu de temps, et d'une manière qui sera appréciée en entreprise. Ils s'apprêtent d'ailleurs à commencer leur stage d'ici 3 semaines. Je leur souhaite très sincèrement beaucoup de réussite. J'ai aussi été impressionné par l'importance qu'ils accordent au "worklife balance", vu de manière positive, c'est à dire en ayant le soin de réussir leur vie professionnelle sans contredire leurs attentes personnelles. Sur ce sujet, la génération précédente avait probablement moins réfléchi. So long !
Ce matin, Conférence de Presse de Nicolas Sarkozy. Sans en attendre la fin, 2 annonces sont dès à présent à regarder avec attention par ceux qui suivent ce blog. Elles sont d'ailleurs mentionnées in extenso dans le dossier de Presse remis à cette occasion :
1 - Généralisation des Stock-Options et actions gratuites
2 - Participation : pour toutes les entreprises y compris celles dont l'effectif est inférieur à 50 personnes.
Doublement de la RSP : Réserve Spéciale de Participation
En soi, rien d'extraordinaire, puisque le cadre légal permet déjà d'appliquer ces dispositions : stock-options discrétionnaires, RSP en mode dérogatoire.
Au delà de l'effet d'annonce, quelle implication l'Etat peut-il développer pour inciter les entreprises privées à s'engager dans ces directions ? Et de quelle manière, alors que le Président affirme qu'il n'a pas vocation à se substituer aux entreprises pour la gestion des rémunérations ?
A suivre. Jacques-Olivier Meyer +33(0)1.47.56.11.81
La Tribune de ce lundi de rentrée titre "Semaine décisive pour la réforme du contrat de travail". Pour ce qui concerne Intelfi, on suivra l'incidence des modifications du contrat de travail français (parmi les modifications annoncées, période d'essai allongée, rupture dite conventionnelle...) sur les flux d'emplois internationaux.
Dans le sens Etranger/France, la modification du contrat (dans le sens d'une harmonisation avec les pratiques d'autres états) peut conduire les entreprises étrangères à placer sous contrat local (français) des salariés qui, compte tenu des inconvénients du contrat français, seraient restés sous contrat du pays d'origine. D'où en clair, augmentation du nombre de salariés étrangers sous contrat français, sans création nette d'emplois en France.
Dans l'autre sens, celui des "expatriés", un contrat de travail français simplifié peut conduire les entreprises à exporter des compétences en conservant ceux qui les possèdent sous contrat français, en clair à moins utiliser le contrat local, dont on sait que l'usage a doublé (en même temps que l'âge moyen des expats diminuait de 5 ans, plus de "primo-expats").
A suivre, dans la mesure ou il est dès à présent clair que l'accord à venir ne comprendra pas de dispositions spécifiques sur l'emploi international. Ce sont donc des tendances au minimum sur l'année qu'Intelfi suivra.
Jacques-Olivier Meyer, DG Intelfi, +33.(0).47.56.11.81
Après une (bonne semaine) au grand froid, le cabinet rouvre ce matin.
Excellente année 2008 riche en nouveaux marchés et succès pour les clients et partenaires d'Intelfi !
Jacques-Olivier Meyer - Directeur Général - Intelfi - +33.1.47.56.11.81
Afin de compléter la note précédente, copie de cet article montrant l'évolution très positive du titre indépendamment de l'affaire :
Apple stock toys with $200 per share mark
by Peter Cohen00
Apple's stock traded north of $200 briefly on Wednesday, although it settled at $198.95 when the Nasdaq market closed at 4:00 PM. It's the first time Apple's stock has ever broken the $200 per share mark.
Apple's stock has well more than doubled since January. In the last 12 months, the stock has traded as low as $76.77 per share. but with exception of a few small, temporary downturns, Apple's stock has risen consistently -- up 134 percent for the year. As of Thursday, Apple's market capitalization, or market cap -- the aggregate value of a company, based on it stock price and number of shares, was $167.63 billion.
Apple stock peaked Wednesday at $200.96 per share, then fell back to $198.95 by day's end, rising $0.15, or 0.08 percent, for the day. It seems that the $200 per share mark was all some investors needed to see to take some profits. The rally on Apple was mirrored by other stocks on the tech-heavy Nasdaq exchange, whose composite index rose 10.91 for the day to close at 2,724.41 -- a 0.40 percent rise.
Apple's riding high on a string of successes, including the triumphant multi-national release of the iPhone, Mac OS X v10.5 "Leopard," and other refreshes throughout its product line, including a video-capable iPod nano and the iPod touch, which features the iPhone's look and feel (but lacks its phone parts).
Apple's CFO, Peter Oppenheimer, has largely played a game of "underpromise and overdeliver" with financial analysts this year, taking a very conservative tack towards quarterly corporate guidance. Apple has easily topped Oppenheimer's goals throughout the year, and more importantly, has also exceeded the expectations of analysts.
Apple has set quarterly sales records for the Mac, moving 2.16 million Macintoshes in its fourth fiscal quarter, which closed at the end of September. The company also sold 10.2 million iPods and 1.12 million iPhones for the same period.
The news is especially good for long-term Apple investors, who last saw a 2-for-1 stock split in early 2005. At that time, Apple stock trading at about $45 per share. In the last two years and ten months, Apple stock has risen almost 350 percent.